La Meuse 24.06.2008 (L'UB)
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Futsal: la révolte des clubs francophoneImprimer l'articleSport liège, lundi 23 juin 2008, 18:02 L'envoyer à un(e) ami(e) Rédaction en ligne Les clubs francophones de Futsall se sont réunis et ils ont exprimé une violente réaction contre l’actuelle politique de la LENF où le président Pans et son secrétaire Donders, deux Limbourgeois, mènent à leur guise une institution d’où le français est quasi banni.
Le contexte est conflictuel et la discorde couvait depuis pas mal de temps au sein de la LPNF, la Ligue des clubs de futsal de première nationale. Les francophones ont redressé leur crête de coq pour exprimer leur ras le bol. Tous, rassemblés par Pol Locicero, le manager d’Action 21, le club aux huit titres de champion de Belgique, ils se sont retrouvés, hier à midi, dans un restaurant de Charleroi. Autour de la table, il y avait Salvatore Conte, le président de Morlanwelz, Aldo Troiani, le patron de Real Châtelineau, Jean-Louis Taziaux le CQ de Frameries et Alain Braibant, le secrétaire de l’ONU liégeoise. Ils étaient tous venus et Picardie Bruxelles, récemment promu en D1, ne devrait pas tarder à se joindre à eux comme d’autres de D2 ou D3. “ Le rôle de la Ligue est de promouvoir notre sport en toute impartialité or il est curieux de constater que, par exemple, au niveau de l’obtention des licences, seuls 14 clubs francophones ont actuellement des problèmes ”, déclare Alain Braibant.
Le contexte est conflictuel et la discorde couvait depuis pas mal de temps au sein de la LPNF, la Ligue des clubs de futsal de première nationale. Les francophones ont redressé leur crête de coq pour exprimer leur ras le bol. Tous, rassemblés par Pol Locicero, le manager d’Action 21, le club aux huit titres de champion de Belgique, ils se sont retrouvés, hier à midi, dans un restaurant de Charleroi. Autour de la table, il y avait Salvatore Conte, le président de Morlanwelz, Aldo Troiani, le patron de Real Châtelineau, Jean-Louis Taziaux le CQ de Frameries et Alain Braibant, le secrétaire de l’ONU liégeoise. Ils étaient tous venus et Picardie Bruxelles, récemment promu en D1, ne devrait pas tarder à se joindre à eux comme d’autres de D2 ou D3. “ Le rôle de la Ligue est de promouvoir notre sport en toute impartialité or il est curieux de constater que, par exemple, au niveau de l’obtention des licences, seuls 14 clubs francophones ont actuellement des problèmes ”, déclare Alain Braibant.
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